Entre dé-mondialisation ou re-mondialisation, la crise actuelle du coronavirus nous met face à une vraie problématique : celle de notre dépendance à des chaînes de production lointaines notamment basées en Chine. Choisissons donc pour la France l’alternative d’un souverainisme choisi où notre dépendance serait réduite sans être entièrement supprimée du fait qu’elle encourage, lorsqu’elle est bien gérée, l’innovation et le progrès. 
 

Le poison est dans la dose, pas dans le principe 

La suite de la tribune de Pascal Perri dans Les Echos ici